Né en 1984 à Paris, Alexandre Valette vit et travaille entre Genève et Paris.

La peinture est entrée très tôt dans sa vie. Enfant, il fut fasciné par les retables des cathédrales qu’il visitait. Il y voyait s’exprimer ce qu’il y a au-delà du visible, un moyen de créer des passages entre réalité physique et aspirations. Ce qui l’impressionne alors particulièrement, c’est l’expérience physique que l’on y fait, l’idée de faire corps avec l’œuvre que l’on a devant soi, pouvoir être submergé.

Il veut alors étudier les maitres anciens et les techniques traditionnelles, choisira l’Histoire de l’Art à l’université de Genève. Il y obtient son Master sous la direction de Dario Gamboni qui lui ouvre la voie aux images potentielles dans l’art.

Ses études lui ont donné l’envie d’explorer d’autres cultures, d’autres savoirs plus anciens. Il part en Extrême-Orient, y fera de nombreux allers-retours, s’intéresse à l’énergétique, aux médecines traditionnelles, aux mythes fondateurs, à ce qui relie les cultures entre elles.

Il passe beaucoup de temps à voyager et s’imprégner notamment de la culture taoïste qui va le pousser parallèlement à son travail de peintre à étudier la médecine chinoise.

Ses œuvres explorent ces forces, peu communes à l’occident, qui agissent au-delà du visible. Elles questionnent les notions de vide, de dualité, de mouvements antagonistes qui produisent l’équilibre, sinon l’unité.

Alexandre Valette a obtenu différents prix, dont le Prix Michaïlov 2021 de la Fondation Taylor ainsi que la médaille d’argent du jury ainsi que du jury invité au Salon des Beaux-Arts de Paris en 2022. Il a été exposé dans plusieurs galeries dont la Galerie NAG avec qui il collabore depuis 2017. Ses œuvres sont entrées dans de nombreuses collections privées en France, au États-Unis et au Japon.